«Et si c’était possible? » fait ressortir le rôle des cellules souches régénératrices dans les transplantations d’organes, montre que leur indispensable mobilisation est un préalable à tout espoir (sic !) de jamais voir un homme devenir gorille par la greffe d’un cerveau humain chez un singe.
Dans le débat philosophique entre l’inné et l’acquis, « Et si c’était possible ? » rappelle que « vouloir » devenir homme butte sur le « pouvoir » inscrit dans l’intimité génétique des structures corporelles. Pour qu’un singe doté de conscience puisse parler, écrire… encore faut-il qu’il possède un larynx, une main et des doigts humains !